Une enquête du New York Times révèle l’ampleur des informations personnelles transmises à des entreprises privées par nos téléphones portables, avec notre accord. N’est-il pas temps d’en prendre conscience ?
Lorsque nous évoquons la surveillance de nos données personnelles numériques, nous pensons d’abord à la Chine, qui a poussé le plus loin l’usage policier de la technologie, ou à Edward Snowden, qui a révélé l’ampleur du contrôle par les services de l’État américain.
Mais dans une formidable enquête publiée hier, le "New York Times" décortique une autre dimension de l’usage de nos données, par des entreprises privées auxquelles nous donnons, sans trop nous poser de questions, le droit de nous surveiller, de traquer nos moindres faits et gestes ; en un mot, de nous espionner.

L'article
Lorsque nous évoquons la surveillance de nos données personnelles numériques, nous pensons d’abord à la Chine, qui a poussé le plus loin l’usage policier de la technologie, ou à Edward Snowden, qui a révélé l’ampleur du contrôle par les services de l’État américain.
Mais dans une formidable enquête publiée hier, le "New York Times" décortique une autre dimension de l’usage de nos données, par des entreprises privées auxquelles nous donnons, sans trop nous poser de questions, le droit de nous surveiller, de traquer nos moindres faits et gestes ; en un mot, de nous espionner.

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