Dans une Amérique encore secouée par le scandale Facebook-Cambridge Analytica, une candidate aux primaires démocrates veut "démanteler" les géants de la Tech...
Faut-il briser les GAFAM ? C'est en tout cas le programme d’une candidate aux primaires de la prochaine présidentielle américaine (2020). Son nom : Elizabeth Warren. À 69 ans, cette sénatrice démocrate du Massachussetts, bien connue des américains pour ses prises de position virulentes contre la finance, a décidé de se payer les géants de la Silicon Valley. Dans son viseur, Amazon, Google et surtout Facebook.
"Il est temps de démanteler les géants américains de la Tech" annonce-t-elle. Si la promesse peut paraître illusoire voire démagogique, cette figure du mouvement anti-Trump a pu récemment bénéficier d'une promotion inattendue. Sous prétexte d'entorse à ses conditions d'utilisation, Facebook a supprimé des publications du compte d'Elizabeth Warren. Des publications qui justement critiquaient les GAFAM. Devant le tollé soulevé, le réseau social a rapidement fait machine arrière. Mais il était trop tard. La sénatrice a eu beau jeu de dénoncer la censure inacceptable de la firme de Mark Zuckerberg.
L'article
Faut-il briser les GAFAM ? C'est en tout cas le programme d’une candidate aux primaires de la prochaine présidentielle américaine (2020). Son nom : Elizabeth Warren. À 69 ans, cette sénatrice démocrate du Massachussetts, bien connue des américains pour ses prises de position virulentes contre la finance, a décidé de se payer les géants de la Silicon Valley. Dans son viseur, Amazon, Google et surtout Facebook.
"Il est temps de démanteler les géants américains de la Tech" annonce-t-elle. Si la promesse peut paraître illusoire voire démagogique, cette figure du mouvement anti-Trump a pu récemment bénéficier d'une promotion inattendue. Sous prétexte d'entorse à ses conditions d'utilisation, Facebook a supprimé des publications du compte d'Elizabeth Warren. Des publications qui justement critiquaient les GAFAM. Devant le tollé soulevé, le réseau social a rapidement fait machine arrière. Mais il était trop tard. La sénatrice a eu beau jeu de dénoncer la censure inacceptable de la firme de Mark Zuckerberg.
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