À l'occasion d'une réponse sur ce forum, j'évoquais une réplique de Louis Jouvet.
Alors je lance ce sujet avec cette vidéo.
Bernard Blier raconte ses anecdotes avec Louis Jouvet | Archive INA
Le théâtre de BOUVARD : émission du 05 février 1983 Interview de Bernard Blier par Philippe Bouvard.
Il évoque plusieurs anecdotes avec Micheline Presle, François Perrier; critique certaines Maisons de la culture . Bernard Blier parle des canulars au téléphone. Il imite Louis Jouvet et téléphonait à des comédiens à 2h du matin en imitant cette voix et en demandant aux comédiens de réciter au téléphone une tirade de Tartuffe.
"Il est grand temps que le gouvernement respecte sa promesse de ne plus reléguer l'écologie au tout dernier plan. Le projet minier Montagne d'Or est une aberration qui risque de voir le jour malgré le combat acharné des Guyanais depuis de longs mois."
Janusz Korczak de son vrai nom Henryk Goldszmit était un médecin-pédiatre célèbre pour avoir choisi délibérément d'être déporté vers Treblinka avec les enfants juifs de son orphelinat.
Le fait que Korczak ait volontairement renoncé à sa vie pour ses convictions parle pour la grandeur de l’homme. Mais cela est sans importance comparé à la force de son message.
— Bruno Bettelheim, cité dans De la Bible au Talmud
Buddy Mercury est un chien de refuge devenu célèbre pour ses talents de pianiste de niveau supérieur. Mais il est beaucoup plus qu’un simple pianiste. Le beagle adore aussi chanter et il est formidable avec les enfants. C’est un toutou extraordinaire.
Récemment, les parents de Buddy Mercury ont mis en ligne une vidéo de sa petite soeur qui est devenue virale pour toutes les bonnes raisons. Cumulant plus de 4 millions de vues, la séquence est exactement la raison pour laquelle Internet a été créé.
Très discret, BlackRock est pourtant le plus puissant gestionnaire d’actifs de la planète. Enquête sur l’omniprésence préoccupante et indécente des grands argentiers de BlackRock dans la vie politique et économique mondiale.
Si l’argent ne fait pas le bonheur, il ouvre sans nul doute les portes du pouvoir. Une maxime que le groupe de gestion d'actifs BlackRock, avec ses 6 000 milliards de dollars américains passés, soit plus de deux fois le PIB de la France, connaît bien. Sociétés, gouvernements et banques centrales : l'entreprise tentaculaire ne cesse d'étendre son influence dans toutes les directions, depuis sa création, en 1988, par Larry Fink. La force de ce géant américain de la gestion réside dans les milliards de dollars que lui confient ses clients, pour la plupart des gros poissons de la finance : multinationales, institutions financières et fonds d’investissement ou de pension. Grâce à cette manne financière, le groupe a mis le grappin sur de nombreuses multinationales. Actuellement, BlackRock est entre autres présent dans le capital d’Apple, de Microsoft, de Facebook, de McDonald’s, de Siemens, ainsi que de nombreuses entreprises du CAC 40. Non content d’investir dans les entreprises les mieux cotées du monde, le gestionnaire d'actifs est aussi dans les petits papiers de gouverneurs de banques centrales, de ministres des finances et même de chefs d’État, à qui il prodigue de précieux conseils. Et pour cause : il dispose non seulement des meilleurs experts financiers, mais aussi d’un algorithme de prévision conjoncturel sans égal, Aladdin. Lors de la crise financière de 2008, de nombreux gouvernements proches du naufrage avaient fait appel au groupe de Larry Fink, ce qui lui a permis de renforcer son emprise sur l’économie mondiale et de présenter à tous le visage d'une entreprise providentielle…
Empire tentaculaire Dans la société civile, d’aucuns s’inquiètent de la position ultradominante du groupe, désormais capable d’influer sur l’économie mondiale et de souffler à l’oreille des décideurs. Son outil phare, Aladdin, représente également une source d’inquiétude : il pousse à une uniformisation de l’investissement mondial, ce qui pourrait amplifier l’effet domino à la prochaine crise financière. Cette enquête choc de Tom Ockers dénonce l’omniprésence préoccupante et indécente des grands argentiers de BlackRock dans la vie politique et économique mondiale. Menée dans cinq pays différents, elle brosse le portrait fouillé d’un des groupes financiers les plus influents au monde, parfaitement inconnu du grand public.
Ce mardi 24 décembre sur BFM TV, le nouveau secrétaire d’État en charge des retraites, Laurent Pietraszewski, a annoncé la ligne des concertations à venir sur la réforme des retraites. Notamment sur un point qui tient à cœur à la CFDT, et à partir duquel la centrale dite « réformiste » serait prête à accompagner la réforme du gouvernement : le rétablissement de la prise en compte de quatre critères de pénibilité (manutention manuelle de charges lourdes ; exposition aux agents chimiques ; postures pénibles ; vibrations mécaniques). Ces critères, supprimés en 2017, pouvaient permettre des départs anticipés à la retraite.
Il justifie cette fermeture au rétablissement de la prise en compte de ces critères avec le prétexte qu’ils n’étaient « pas ou peu évalués dans la vie des entreprises ». Il ajoute que les salariés exposés à la pénibilité... n’auraient qu’à se reconvertir, plutôt que d’espérer partir plus tôt à la retraite !
Dans le nord-ouest de la Syrie, une dernière grande bataille a lieu entre la rébellion et les forces loyalistes de Bachar Al Assad soutenues par l’aviation russe. Le médecin humanitaire Raphaël Pitti tente d’alerter les pouvoirs publics sur les massacres en cours à Idlib.
Le dernier bastion de la rébellion syrienne fait face à une terrible offensive militaire du régime de Bachar Al Assad soutenu par la Russie. Près d’un million de civils ont déjà fui les bombardements, 3 millions restent piégés et font face à un déluge de bombes.
L’aviation russe vise et tire sur les hôpitaux, les écoles, les marchés pour terroriser la population et forcer les rebelles à se rendre. Selon Raphaël Pitti, il ne reste plus qu’un hôpital pour tenter de soigner les victimes.
Depuis le début de la guerre en Syrie, la moitié de la population syrienne a été déplacée pour fuir la guerre et l’épuration éthnico-religieuse. Des milices fanatiques financées par l’Iran participent aux massacres en violant et tuant les civils. Plusieurs millions de syriens ont trouvé refuge dans les pays voisins notamment la Turquie et le Liban. Ces pays ont depuis fermé leur frontière à cause de troubles politiques et manques de moyens financiers pour accueillir les nouvelles victimes du régime de Damas.
La seule vérité en fin de compte, c'est de mener une vie passionnée, même si elle se rebelle et vous frappe au visage. Vian