Israa Al-Ghomgham pourrait devenir la première femme condamnée à la peine capitale pour son engagement en faveur des libertés.
La peine de mort a été requise à l’encontre de cinq militants des droits de l’homme en Arabie saoudite, ont annoncé, mercredi 22 août, Human Rights Watch (HRW), Amnesty International et plusieurs groupes de défense des droits de l’homme.
Parmi ces personnes figure Israa Al-Ghomgham, militante chiite de premier plan qui a rassemblé des informations sur les manifestations de masse qui ont eu lieu dans la province orientale du pays à partir de 2011.
Elle avait été arrêtée chez elle en décembre 2015 avec son mari. Elle pourrait être la première femme à être condamnée à la peine capitale pour son activité relative aux droits de l’homme.
Elle est notamment accusée d’incitation à la contestation et d’avoir apporté un soutien moral à des émeutiers.
« Toute exécution est effroyable, mais demander la peine de mort pour des militants comme Israa Al-Ghomgham, qui ne sont même pas accusés de comportement violent, est monstrueux », a déclaré Sarah Leah Whitson, directrice de HRW au Moyen-Orient.
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Parmi ces personnes figure Israa Al-Ghomgham, militante chiite de premier plan qui a rassemblé des informations sur les manifestations de masse qui ont eu lieu dans la province orientale du pays à partir de 2011.
Elle avait été arrêtée chez elle en décembre 2015 avec son mari. Elle pourrait être la première femme à être condamnée à la peine capitale pour son activité relative aux droits de l’homme.
Elle est notamment accusée d’incitation à la contestation et d’avoir apporté un soutien moral à des émeutiers.
« Toute exécution est effroyable, mais demander la peine de mort pour des militants comme Israa Al-Ghomgham, qui ne sont même pas accusés de comportement violent, est monstrueux », a déclaré Sarah Leah Whitson, directrice de HRW au Moyen-Orient.
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