Le tribunal correctionnel de Lyon a relaxé deux activistes écologistes pour avoir réquisitionné un portrait du président en février dernier. Le juge a invoqué «l'état de nécessité» et un «motif légitime».
Décision surprise au tribunal correctionnel de Lyon: le juge unique a invoqué ce lundi «l'état de nécessité» et le «motif légitime» pour relaxer deux «décrocheurs» d'un portrait d'Emmanuel Macron en février dernier, poursuivis pour vol en réunion. «C'est une première et un très très bon signal pour nous", a déclaré à l'AFP une porte-parole du mouvement ANV-COP21 qui a salué cette "décision historique» actant «le non-respect des objectifs climatiques de la France et la légitimité des actions de désobéissance civile face à l'urgence climatique». Le parquet a annoncé lundi soir avoir fait appel de la décision.

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Décision surprise au tribunal correctionnel de Lyon: le juge unique a invoqué ce lundi «l'état de nécessité» et le «motif légitime» pour relaxer deux «décrocheurs» d'un portrait d'Emmanuel Macron en février dernier, poursuivis pour vol en réunion. «C'est une première et un très très bon signal pour nous", a déclaré à l'AFP une porte-parole du mouvement ANV-COP21 qui a salué cette "décision historique» actant «le non-respect des objectifs climatiques de la France et la légitimité des actions de désobéissance civile face à l'urgence climatique». Le parquet a annoncé lundi soir avoir fait appel de la décision.

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