La voiture classique «thermique» n’a plus la cote. Avec des seuils de déclenchement dramatiquement tirés vers le bas, le barème du malus de l’an prochain compromet l’avenir de certains modèles. L’automobiliste devra mettre la main au fond de sa poche s’il s’entête à vouloir rouler dans une voiture traditionnelle.
Pas de pitié pour l’automobiliste qui s’obstine à vouloir se déplacer en véhicule «thermique». La lecture du projet de loi de finances établissant le barème de malus pour 2020 est un coup à l’estomac. Le seuil de déclenchement de ce malus «écologique» est abaissé de 117 g de CO2 par kilomètre à 110 g. Mais par un effet «domino», ce décalage entraîne très vite de considérables augmentations. Ainsi, quand il fallait débourser de 90 à 210 € pour des émissions de 128 à 132 g/km, il devrait en coûter de 650 à 983 € l’an prochain. De 168 à 172 g/km, cela passe de 4460 à 5340 €, à 10 011 à 12 012 €, malus maximal (10 500 € à partir de 185 g/km en 2019). Une simple lecture comparée des deux grilles fixe les idées.

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Pas de pitié pour l’automobiliste qui s’obstine à vouloir se déplacer en véhicule «thermique». La lecture du projet de loi de finances établissant le barème de malus pour 2020 est un coup à l’estomac. Le seuil de déclenchement de ce malus «écologique» est abaissé de 117 g de CO2 par kilomètre à 110 g. Mais par un effet «domino», ce décalage entraîne très vite de considérables augmentations. Ainsi, quand il fallait débourser de 90 à 210 € pour des émissions de 128 à 132 g/km, il devrait en coûter de 650 à 983 € l’an prochain. De 168 à 172 g/km, cela passe de 4460 à 5340 €, à 10 011 à 12 012 €, malus maximal (10 500 € à partir de 185 g/km en 2019). Une simple lecture comparée des deux grilles fixe les idées.

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